Dans un travail récent qui apparaît en page de couverture du numéro du mois d’août 2021 du journal Molecular Ecology, Depardieu et collaborateurs ont utilisé conjointement des approches de dendroécologie chez des arbres matures répliqués dans un test génécologique, d’associations génétiques de type génotype-phénotype et génotype-environnement pour des milliers de gènes candidats, ainsi que de transcriptomique afin d’étudier les bases génomiques de la résistance à la sécheresse chez l’épinette blanche. Au total, ils ont pu identifier 285 gènes vraisemblablement impliqués dans la résistance à la sécheresse, incluant des gènes différentiellement exprimés chez des semis soumis à un stress hydrique. Ce travail a également fait l’objet d’un commentaire éditorial aux pages 3893-95 de ce même numéro. Lien vers la publication complète.